[Test PS4] Dishonored 2 – La Lame de la Justice
Tout le monde connait Bethesda Softworks l’atout majeur de ZeniMax Media ne serait-ce que la saga à succès des The Elder Scrolls, mais certainement aussi par une autre grande saga comme The Fallout. En 2012, Bethesda s’allier avec un studio français Arkane Studios pour développer un nouveau jeu dans le genre infiltration à la première personne avec un style victorien/steampunk propre à lui et une direction artistique assurée par Viktor Antonov, le jeu Dishonored.
Sa suite direct à savoir Dishonored 2 d’ores et déjà disponible, nous entraîne 15 ans plus tard après les événements du premier, ou Corvo Attano avaient était injustement accuser du meurtre de l’impératrice Jessamine Kaldwin.
Arkane Studios avait déjà prouvé avec Dishonored, qu’il avait les capacités de se surpasser après le monde de Dunwall et sa peste, le Studio nous transporte une fois encore dans un monde lointain, inexploré où l’inspiration steampunk se combine avec les méandres de l’occultisme. En somme notre nouveau terrain de jeu Karnaca.
Quinze années sont passées, mais le poids de la mort de Jessamine Kaldwin est une charge constante sur les épaules du Protecteur Royal Corvo Attano. Et maintenant il doit protéger la nouvelle impératrice Emily Kaldwin. Le jeu commence par le jour anniversaire de la mort de Jessamine, nos deux protagoniste sont unis dans le deuil, totalement ignorant que dans quelques heures ils vont se voir forcer de battre pour leurs survies.
Vous aurez donc un choix cornélien à faire, poursuive l’aventure en incarnant Emily Kaldwin qui a tout appris au côté du Protecteur Royal ou de choisir notre bon vieux Corvo Attano.
Au-delà d’une histoire plus intéressante que sont prédécesseur, on note certaine décisions des développeurs qui ont choisie de transmettre plus d’immersion dans le scénario en donnant une voix à Corvo ainsi qu’a Emily, un risque certes, mais qui se révèle plutôt bon puisque nous pouvons maintenant connaître en détail les opinions du personnage contrôler.
Manette en main, combien de changement ont été incorporé me direz-vous ? La structure du gameplay reste identique, de l’action ou furtivité à la première personne. Les niveaux regorges d’endroit pour se camouflés dans l’ombre et ainsi éviter autant que possible le contact avec les ennemis. Mais il vous sera aussi possible de se livrer à une confrontation directe en utilisant des gadgets et autres pouvoirs. Bien que nous vous conseillons une approche furtive plus amusante et même meilleure que de faire un massacre.
Bien que les pouvoirs soit de retour dans le jeu, il vous sera possible de choisir de ne pas les utiliser. Un choix intéressant pour ceux qui n’apprécient pas l’utilisation d’une gammes de capacités surnaturelles qui pourraient être considérés comme trop insistant par ceux qui sont à la recherche d’une furtivité pure et simple sans fioriture.
En parlant des pouvoirs notre héros masqué à les mêmes que dans le premier Dishonored, tandis que si vous jouer l’impératrice Emily vous découvrirez de nouvelles capacités très intéressantes qui pourront donner lieu à des approches encore plus expérimental et potentiellement mortelles. Chaque compétence possède un petit arbre de talent dédié qui vous aidera à faire des variantes plus ou moins évidentes et améliora vos pouvoirs.
Cette nouvelle aventure vous tiendra constamment en haleine, et vous passerez des heures à explorer les moindre recoins, tellement le monde regorge d’objets à récolter et avec une approche furtive compter bien dans les 20 ou 30 heures, voire plus si vous voulez faire le jeu avec les 2 protagonistes avec ou sans leurs pouvoirs.
Côté technique le Void Engine fait des merveilles même si sur Playstation 4 le jeu ne dépasse pas les 30 fps, il faudra voir avec la Playstation 4 Pro pour aller au-delà ou jouer sur la version PC. Visuellement le titre atteint des sommets de complexité artistique, on ressent que Arkane Studios s’est surpassé et décide de privilégier son côté artistique que technique.
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