Critique Manga : Orbitaria – L’ultime pays celeste
Orbitaria est un manga papier prévu en 4 volume chez Doki-Doki que je recommande chaudement si vous avez aimé le Château dans le ciel ou encore Bullet Armors.
Vous suivrez les aventures d’Al un ingénieur et élève de dernière année de son collège. Al ne vit que pour une chose montrer à tout son collège qu’il est capable de crée un robot, malheureusement ses échecs répètent dans son projet le font passer pour le gros nul de service. Jusqu’au jour où un rêve apriori anodin lui permit de découvrir les secrets d’un robot et d’une mystérieuse femme nommée Walfran, cette étrange demoiselle, donne à Al un étrange pendentif. A son rêve, Al réussi à construire un robot ce qui lui permit d’être reconnu comme le plus tenace de tous les élevés, cependant Al étonné découvre que ce mystérieux pendentif est toujours en sa possession.
Lors de la cérémonie de fin d’année, un choix crucial se prépare, être Administrateur ou Travailleur. Al et ses 2 jeunes amis, Gupta et Chityak, se voient maintenant considèrent comme adultes et doivent quitter l’académie. Ils réalisent alors que l’enceinte dans laquelle ils étaient confinés n’était en fait qu’une infime partie d’un gigantesque robot, un « orbitaria ». Peu à peu, ils comprennent que ce robot forme un État à lui tout seul, jadis mouvant mais aujourd’hui immobilisé. En se rebellant contre le destin qu’on lui a tracé, Al va vivre des aventures des plus périlleuses et découvrir la vérité sur le pays céleste !
Orbitaria est une bonne surprise, faisant penser au Château dans le ciel notamment dans la découverte de l’Orbitaria, cependant l’aventure commence avec des scènes peu explicatives par moment laissant démarrer l’intrigue maladroitement saupoudré de quelque moment gnian-gnian entre nos trois compagnons. Néanmoins, Orbitaria innove dans son approche et dans son idée de contrôle d’un mécha géant de la taille d’une ville et qui sait peut-être plus. L’idée de voir plusieurs « pays céleste » se battre pendant que les habitants sont encore à l’intérieur est assez drôle.
Orbitaria reste donc à surveiller de près, on attendra tout de même un peu plus d’exploitation au niveau de l’amitié entre ses trois amis, et un peu moins de scène « gênante » non justifier.